La demande d’obligations portant une étiquette continue d’augmenter
- Courriel
-
Signet
-
Imprimer
Les obligations vertes, sociales et durables (VSD) attirent de plus en plus d’investisseurs, qui s’intéressent à la viabilité à long terme du marché et appuient la transition vers une économie plus durable et plus inclusive.
Au départ, lors de leur introduction sur le marché, les obligations VSD s’adressaient principalement à deux types d’investisseurs distincts : ceux qui privilégiaient les placements reflétant leurs valeurs et ceux qui recherchaient d’autres placements solides pour compléter leurs portefeuilles. Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, ces obligations sont prisées par un large éventail d’investisseurs en raison du soutien qu’elles apportent à leurs objectifs globaux liés au climat et à la durabilité.
Fort de cette vulgarisation, qui touche également les émetteurs d’obligations VSD (dont le nombre a plus que décuplé au cours des 10 dernières années), le marché mondial des obligations VSD atteignait 5,2 billions de dollars à la fin du mois d’avril 2024 et représentait environ 20 % de toutes les nouvelles émissions de titres à revenu fixe l’an dernier, ainsi que 15 % du marché total des titres à revenu fixe. La compréhension des défis et des occasions du marché des obligations VSD était au cœur des discussions lors de la table ronde sur la finance durable que j’ai animée à la conférence 2024 Gouvernements, banque centrale et gestionnaires de fonds de BMO à Toronto. J’avais à mes côtés :
-
Elizabeth Wallace, gestionnaire principale, financement et change, division des marchés financiers, Office ontarien de financement
-
Ralf Nielsen, directeur de la durabilité de l’entreprise, TransLink
-
Erik Hådén, directeur général, responsable des relations avec les investisseurs, Swedish Export Credit Corporation (SEK)
Deux des aspects les plus inspirants de la discussion concernaient l’évolution du marché des obligations VSD sous l’effet de la mobilisation d’une part croissante des parties prenantes, ainsi que de la détermination collective des principales parties prenantes à collaborer pour relever les défis auxquels reste confronté le marché des obligations VSD. Voici un aperçu de quelques points à retenir de cette discussion :
Un marché qui progresse vers la maturité
Rares sont les personnes qui sentent mieux le pouls du marché des obligations vertes qu’Elizabeth Wallace, de l’Office ontarien de financement, qui est actuellement l’émetteur le plus important et le plus fréquent d’obligations vertes en dollars canadiens. L’Office a réalisé 15 émissions vertes pour un montant total de 18 milliards de dollars, dont la plus récente dans le nouveau Cadre pour les obligations durables de l’Ontario pour un montant de 1,5 milliard de dollars.
Beaucoup de choses ont changé dans ce domaine au cours de la dernière décennie, selon Mme Wallace. « L’engagement des investisseurs n’a fait qu’augmenter au cours de cette période, a-t-elle expliqué. Aujourd’hui, tous les investisseurs sont mobilisés dans le cadre de notre programme d’obligations vertes. » Le changement ne s’opère pas seulement au niveau des investisseurs; la sagacité des parties prenantes internes au sein du gouvernement a également augmenté; le cadre pour les obligations durables de la province traduit les besoins et les priorités d’un large éventail de ministères. Ce cadre comprend désormais dix catégories vertes et cinq catégories sociales.
Son ampleur préoccupe certains investisseurs, car l’élargissement du cadre peut réduire la visibilité à l’égard de l’utilisation des fonds. Mme Wallace reconnaît qu’il s’agit là d’un défi et que certains investisseurs ne se sentent pas nécessairement à l’aise avec tous les aspects du cadre provincial, comme l’inclusion de l’énergie nucléaire, visée par des restrictions dans certains portefeuilles. Pour relever ce défi, l’Ontario s’est efforcé d’être aussi transparent que possible en donnant des précisions sur les projets qui seront financés lors de l’émission, plutôt qu’un an plus tard.
« Cela exige beaucoup de travail supplémentaire de notre part pour préparer l’émission d’une obligation, mais le jeu en vaut la chandelle, dit-elle. Il nous semble que ce degré de transparence a bien fonctionné pour nous avec les investisseurs. »
Élargissement des cadres
Ralf Nielsen, de TransLink, observe comment d’autres organisations élargissent leur cadre pour répondre à la demande des investisseurs, notamment afin de déterminer si l’ajout d’une catégorie sociale renforcerait l’attrait de leurs obligations. Mais il a été difficile de trouver un projet purement social. À la place, TransLink s’est attachée à améliorer ses rapports d’impact après l’émission, en soulignant les avantages conjoints de ses grands programmes d’investissement sur le plan social, ainsi qu’en améliorant la communication d’information sur les projets financés.
« Cela a été une démarche d’amélioration continue », a-t-il déclaré, en précisant qu’au départ, lorsque TransLink fournissait des renseignements sur ses projets, elle en donnait autant que possible sur les avantages et les indicateurs de rendement clés. « L’idée est d’écouter ce que nous demandent les investisseurs et nos institutions financières », a-t-il déclaré.
Mais il est compliqué de maintenir un tel niveau d’information, en particulier lorsque les émissions se succèdent. La société de transport qui dessert la région métropolitaine de Vancouver a été la première en son genre au Canada à émettre une obligation verte en 2018. Son cadre pour les obligations vertes régit l’émission des obligations portant une étiquette, notamment dans les catégories des transports non polluants, des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et de la conservation.
Sachant que la majorité du programme d’investissement de TransLink est admissible dans le cadre des obligations vertes, les obligations portant une étiquette représentent une part importante du financement lié au programme d’investissement de la société de transport, qui soutient une expansion majeure du réseau ferroviaire SkyTrain et l’électrification de son parc d’autobus.
Satisfaction de la demande
Il n’est pas difficile de susciter l’intérêt des investisseurs à l’égard des obligations vertes, aux yeux d’Erik Hådén, de SEK, une entreprise publique qui apporte du financement aux exportateurs suédois, à leurs filiales et à leurs clients étrangers. « Le problème n’est pas de vendre nos obligations… mais de trouver des actifs auxquels les adosser », a-t-il expliqué.
SEK a établi son premier cadre pour obligations vertes en 2015. En 2021, elle a élargi ce cadre pour y intégrer des obligations durables, afin de pouvoir émettre des obligations vertes, des obligations sociales ou une combinaison d’obligations dites « durables ».
Le plus grand défi consiste à trouver des projets qui cochent toutes les bonnes cases, surtout si l’actif sous-jacent comprend un projet qui peut avoir un impact, mais qui ne correspond pas tout à fait à ce que recherchent les investisseurs ou qui n’est pas en conformité avec la taxonomie de l’UE. M. Haden a indiqué que SEK avait engagé des discussions sur les obligations de transition, qui pourraient financer des projets ne correspondant pas tout à fait aux critères des obligations vertes ou des obligations durables. Il est toutefois difficile de parvenir à une définition de la transition qui répond à la plupart des attentes.
Tout n’est pas encore réglé, mais vu l’augmentation de la demande à l’égard de ces titres et les moyens novateurs mis en œuvre par les organisations pour obtenir des obligations VSD, on peut affirmer que l’avenir est prometteur pour cette partie du marché. Il est encourageant de voir à quel point toutes les parties prenantes sont mobilisées et collaborent pour en faire un marché encore plus solide.
La demande d’obligations portant une étiquette continue d’augmenter
Directrice, Finance durable
Magali Gable a rejoint l’équipe de Finance durable de BMO au début de 2020. Elle dessert les clients de BMO dans les secteurs de l’&e…
Magali Gable a rejoint l’équipe de Finance durable de BMO au début de 2020. Elle dessert les clients de BMO dans les secteurs de l’&e…
VOIR LE PROFIL COMPLET- Temps de lecture
- Écouter Arrêter
- Agrandir | Réduire le texte
Les obligations vertes, sociales et durables (VSD) attirent de plus en plus d’investisseurs, qui s’intéressent à la viabilité à long terme du marché et appuient la transition vers une économie plus durable et plus inclusive.
Au départ, lors de leur introduction sur le marché, les obligations VSD s’adressaient principalement à deux types d’investisseurs distincts : ceux qui privilégiaient les placements reflétant leurs valeurs et ceux qui recherchaient d’autres placements solides pour compléter leurs portefeuilles. Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, ces obligations sont prisées par un large éventail d’investisseurs en raison du soutien qu’elles apportent à leurs objectifs globaux liés au climat et à la durabilité.
Fort de cette vulgarisation, qui touche également les émetteurs d’obligations VSD (dont le nombre a plus que décuplé au cours des 10 dernières années), le marché mondial des obligations VSD atteignait 5,2 billions de dollars à la fin du mois d’avril 2024 et représentait environ 20 % de toutes les nouvelles émissions de titres à revenu fixe l’an dernier, ainsi que 15 % du marché total des titres à revenu fixe. La compréhension des défis et des occasions du marché des obligations VSD était au cœur des discussions lors de la table ronde sur la finance durable que j’ai animée à la conférence 2024 Gouvernements, banque centrale et gestionnaires de fonds de BMO à Toronto. J’avais à mes côtés :
-
Elizabeth Wallace, gestionnaire principale, financement et change, division des marchés financiers, Office ontarien de financement
-
Ralf Nielsen, directeur de la durabilité de l’entreprise, TransLink
-
Erik Hådén, directeur général, responsable des relations avec les investisseurs, Swedish Export Credit Corporation (SEK)
Deux des aspects les plus inspirants de la discussion concernaient l’évolution du marché des obligations VSD sous l’effet de la mobilisation d’une part croissante des parties prenantes, ainsi que de la détermination collective des principales parties prenantes à collaborer pour relever les défis auxquels reste confronté le marché des obligations VSD. Voici un aperçu de quelques points à retenir de cette discussion :
Un marché qui progresse vers la maturité
Rares sont les personnes qui sentent mieux le pouls du marché des obligations vertes qu’Elizabeth Wallace, de l’Office ontarien de financement, qui est actuellement l’émetteur le plus important et le plus fréquent d’obligations vertes en dollars canadiens. L’Office a réalisé 15 émissions vertes pour un montant total de 18 milliards de dollars, dont la plus récente dans le nouveau Cadre pour les obligations durables de l’Ontario pour un montant de 1,5 milliard de dollars.
Beaucoup de choses ont changé dans ce domaine au cours de la dernière décennie, selon Mme Wallace. « L’engagement des investisseurs n’a fait qu’augmenter au cours de cette période, a-t-elle expliqué. Aujourd’hui, tous les investisseurs sont mobilisés dans le cadre de notre programme d’obligations vertes. » Le changement ne s’opère pas seulement au niveau des investisseurs; la sagacité des parties prenantes internes au sein du gouvernement a également augmenté; le cadre pour les obligations durables de la province traduit les besoins et les priorités d’un large éventail de ministères. Ce cadre comprend désormais dix catégories vertes et cinq catégories sociales.
Son ampleur préoccupe certains investisseurs, car l’élargissement du cadre peut réduire la visibilité à l’égard de l’utilisation des fonds. Mme Wallace reconnaît qu’il s’agit là d’un défi et que certains investisseurs ne se sentent pas nécessairement à l’aise avec tous les aspects du cadre provincial, comme l’inclusion de l’énergie nucléaire, visée par des restrictions dans certains portefeuilles. Pour relever ce défi, l’Ontario s’est efforcé d’être aussi transparent que possible en donnant des précisions sur les projets qui seront financés lors de l’émission, plutôt qu’un an plus tard.
« Cela exige beaucoup de travail supplémentaire de notre part pour préparer l’émission d’une obligation, mais le jeu en vaut la chandelle, dit-elle. Il nous semble que ce degré de transparence a bien fonctionné pour nous avec les investisseurs. »
Élargissement des cadres
Ralf Nielsen, de TransLink, observe comment d’autres organisations élargissent leur cadre pour répondre à la demande des investisseurs, notamment afin de déterminer si l’ajout d’une catégorie sociale renforcerait l’attrait de leurs obligations. Mais il a été difficile de trouver un projet purement social. À la place, TransLink s’est attachée à améliorer ses rapports d’impact après l’émission, en soulignant les avantages conjoints de ses grands programmes d’investissement sur le plan social, ainsi qu’en améliorant la communication d’information sur les projets financés.
« Cela a été une démarche d’amélioration continue », a-t-il déclaré, en précisant qu’au départ, lorsque TransLink fournissait des renseignements sur ses projets, elle en donnait autant que possible sur les avantages et les indicateurs de rendement clés. « L’idée est d’écouter ce que nous demandent les investisseurs et nos institutions financières », a-t-il déclaré.
Mais il est compliqué de maintenir un tel niveau d’information, en particulier lorsque les émissions se succèdent. La société de transport qui dessert la région métropolitaine de Vancouver a été la première en son genre au Canada à émettre une obligation verte en 2018. Son cadre pour les obligations vertes régit l’émission des obligations portant une étiquette, notamment dans les catégories des transports non polluants, des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et de la conservation.
Sachant que la majorité du programme d’investissement de TransLink est admissible dans le cadre des obligations vertes, les obligations portant une étiquette représentent une part importante du financement lié au programme d’investissement de la société de transport, qui soutient une expansion majeure du réseau ferroviaire SkyTrain et l’électrification de son parc d’autobus.
Satisfaction de la demande
Il n’est pas difficile de susciter l’intérêt des investisseurs à l’égard des obligations vertes, aux yeux d’Erik Hådén, de SEK, une entreprise publique qui apporte du financement aux exportateurs suédois, à leurs filiales et à leurs clients étrangers. « Le problème n’est pas de vendre nos obligations… mais de trouver des actifs auxquels les adosser », a-t-il expliqué.
SEK a établi son premier cadre pour obligations vertes en 2015. En 2021, elle a élargi ce cadre pour y intégrer des obligations durables, afin de pouvoir émettre des obligations vertes, des obligations sociales ou une combinaison d’obligations dites « durables ».
Le plus grand défi consiste à trouver des projets qui cochent toutes les bonnes cases, surtout si l’actif sous-jacent comprend un projet qui peut avoir un impact, mais qui ne correspond pas tout à fait à ce que recherchent les investisseurs ou qui n’est pas en conformité avec la taxonomie de l’UE. M. Haden a indiqué que SEK avait engagé des discussions sur les obligations de transition, qui pourraient financer des projets ne correspondant pas tout à fait aux critères des obligations vertes ou des obligations durables. Il est toutefois difficile de parvenir à une définition de la transition qui répond à la plupart des attentes.
Tout n’est pas encore réglé, mais vu l’augmentation de la demande à l’égard de ces titres et les moyens novateurs mis en œuvre par les organisations pour obtenir des obligations VSD, on peut affirmer que l’avenir est prometteur pour cette partie du marché. Il est encourageant de voir à quel point toutes les parties prenantes sont mobilisées et collaborent pour en faire un marché encore plus solide.
Autre contenu intéressant
Pourquoi la durabilité est une source de bonnes affaires : Principaux points retenus du Forum économique international des Amériques (FEIA) de 2024, à Toronto
Building for Tomorrow: Real Estate, Construction, and Sustainability
L’aspect économique de l’élimination du carbone : un entretien avec Deep Sky
Comment les entreprises peuvent s’y retrouver dans le cadre de la politique climatique du Canada
Une première dans l'Ouest canadien : Avenue Living tire parti du programme d'amélioration écoénergétique de BMO pour ajouter 179 nouveaux logements locatifs dans le centre-ville d'Edmonton
Comptabilisation du carbone : Comment renforcer les plans climatiques des entreprises
Le coût des plans d’action des entreprises en matière de climat
Les femmes jouent un rôle de premier plan dans le domaine du climat et du développement durable
Risque climatique : changements réglementaires à surveiller en 2024
Mobiliser les investissements en minéraux critiques pour la transition énergétique
Comment la NASA et IBM utilisent les données géospatiales et l’intelligence artificielle pour analyser les risques climatiques
L’obligation de publier de l’information sur les facteurs ESG est le signe d’un marché arrivé à maturité
BMO organise un financement vert pour financer le nouveau Lawson Centre for Sustainability, la construction la plus importante de Trinity College depuis un siècle
BMO se classe parmi les sociétés les plus durables d'Amérique du Nord selon les indices de durabilité Dow Jones
Le Canada a l’occasion de devenir un chef de file mondial de l’élimination du dioxyde de carbone
Températures extrêmes : comment les villes nord-américaines amplifient-elles le changement climatique?
Trois éléments clés pour mettre en œuvre la transition énergétique : partenariats, permis et financement
Selon un sondage réalisé par l'Institut pour le climat de BMO auprès des chefs d'entreprise, près de la moitié des chefs d'entreprise des États-Unis et du Canada croient que les changements climatique
Un plus grand nombre d’entreprises ont des plans pour lutter contre les changements climatiques en raison de l’importance croissante qu’ils revêtent sur leurs activités : Résultats du sondage
L’électrification constitue une occasion unique dans le cadre de la transition énergétique
Questions et réponses : comment transformer les défis économiques en possibilités
Le soutien du secteur de l’énergie dans l’atteinte des objectifs de décarbonisation du Canada
Trois idées inspirées de la Semaine du climat pour passer à l’action à la COP28
Pourquoi les entreprises doivent accélérer leurs efforts pour lutter contre les changements climatiques
Du caractère essentiel du financement pour doper les technologies d’élimination du carbone
Transformer le système alimentaire mondial au bénéfice des investisseurs et de la planète
BMO Donates $3 Million to GRID Alternatives to Provide Solar Energy Solutions for Low-Income Families
Banco do Brasil and BMO Financial Group to Introduce First-of-its-Kind Program to Provide Sustainability-Linked Trade Loans Supporting Brazilian Exporters
Comment les investissements dans le captage du carbone peuvent générer des crédits carbone
Comment les concessionnaires automobiles contribuent à la transition vers la carboneutralité
BMO fournit un nouveau produit innovant, le dépôt lié à la durabilité, à Zurn Elkay Water Solutions
Quick Listen: Michael Torrance on Empowering Your Organization to Operationalize Sustainability
BMO seule grande banque nommée au palmarès des 50 meilleures entreprises citoyennes au Canada
Quick Listen: Darryl White on the Importance of US-Canada Partnership
Un investissement rentable : la rénovation comme moyen d’atteindre la carboneutralité
Évolution du marché du carbone : ce qu’en pensent les principaux acteurs
Agriculture régénératrice : un modèle d’avenir?
BMO et Bell Canada mettent en œuvre un produit dérivé innovant lié à la durabilité et à des objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre
BMO fait partie d'un groupe convoqué par l'ONU qui conseille les banques mondiales sur l'établissement d'objectifs liés à la nature
Les chefs de file de l’investissement intensifient leurs efforts en vue d’atteindre l’objectif net zéro
Favoriser les innovations technologiques pour renforcer la résilience face aux changements climatiques
BMO célèbre le Jour de la Terre avec la 3e édition annuelle du programme Des transactions qui font pousser des arbres dans ses salles des marchés mondiaux
BMO Donates $2 Million to the University of Saskatchewan to Accelerate Research Critical to the Future of Food
Les marchés mondiaux subissent un changement fondamental – Sommet États-Unis–Canada
Le temps presse pour les solutions au changement climatique - Sommet Canada-États-Unis
Le rôle de l’agriculture nord-américaine pour relever le défi de l’insécurité alimentaire mondiale – Sommet Canada-États-Unis
North America’s Critical Minerals Advantage: Deep Dive on Community Engagement
Réchauffement climatique : le GIEC lance son dernier avertissement de la décennie
Explorer les risques et les possibilités associés aux notations ESG dans le secteur minier
Les crédits carbone ne se valent pas tous : Conférence sur les mines, métaux et minéraux critiques de BMO
Exploration des avantages de l’extraction de minéraux critiques en Amérique du Nord dans le cadre de la Conférence mondiale sur les mines, métaux et minéraux critiques
La confiance est la denrée la plus précieuse : Message de l’ICMM à la Conférence mondiale sur les mines, métaux et minéraux critiques de BMO
Les légendes du roc réfléchissent aux réussites et aux échecs de l’industrie minière lors de la Conférence mondiale sur les mines, métaux et minéraux critiques
BMO Experts at our 32nd Global Metals, Mining & Critical Minerals Conference
Evolving Mining for a Sustainable Energy Transition: ICMM CEO Rohitesh Dhawan in Conversation
BMO Equity Research on BMO Radicle and the World of Carbon Credits
Public Policy and the Energy Transition: Howard Learner in Conversation
Taskforce on Nature-Related Financial Disclosure (TNFD) – A Plan for Integrating Nature into Business
Points à retenir du sondage sur le climat des petites et moyennes entreprises réalisé par l’Institut pour le climat de BMO
BMO nommée banque la plus durable d'Amérique du Nord par Corporate Knights pour la quatrième année d'affilée
Le financement vert du nucléaire : nouvelle frontière de la transition énergétique?
Assurer l’avenir des approvisionnements alimentaires : le rôle de l’Amérique du Nord
BMO s'est classé parmi les entreprises les plus durables en Amérique du Nord selon les indices de durabilité Dow Jones
Un sondage de l'Institut pour le climat de BMO révèle que les coûts et les priorités concurrentes ralentissent l'action climatique des petites et moyennes entreprises
Gérer et monétiser votre transition vers un monde carboneutre avec BMO et Radicle
BMO est l'institution financière la mieux classée selon le Global Sustainability Benchmark, le nouvel indice de référence mondial du développement durable annoncé lors de la COP 27
COP27 : Les problèmes de sécurité énergétique et l’incertitude économique ralentiront-t-ils la transition climatique?
BMO investira dans les crédits compensatoires de carbone novateurs de CarbonCure pour stocker du CO₂ de façon permanente
Financement commercial : vers le développement durable, une entreprise à la fois
RoadMap Project: An Indigenous-led Paradigm Shift for Economic Reconciliation
Une première canadienne : BMO et l'Université Concordia s'unissent pour un avenir durable grâce à un prêt innovant lié à la durabilité
Intégration des facteurs ESG dans les petites et moyennes entreprises : Conférence de Montréal
BMO entend racheter Radicle Group Inc., un chef de file des services environnementaux situé à Calgary
Investment Opportunities for a Net-Zero Economy: A Conversation at the Milken Institute Global Conference
S’ajuster face aux changements climatiques : l’Institut pour le climat de BMO
How Hope, Grit, and a Hospital Network Saved Maverix Private Capital Founder John Ruffolo
Hydrogen’s Role in the Energy Transition: Matt Fairley in Conversation
Key Takeaways on Ag, Food, Fertilizer & ESG from BMO’s Farm to Market Conference
Les risques physiques et liés à la transition auxquels font face l’alimentation et l’agriculture
Building an ESG Business Case in the Food Sector: The Food Institute
Aller de l’avant en matière de transition énergétique : Darryl White s’adresse aux gestionnaires de réserves et d’actifs mondiaux
BMO et EDC annoncent une collaboration pour présenter des solutions de financement durable aux entreprises canadiennes
Refonte au Canada pour un monde carboneutre : Conversation avec Corey Diamond d’Efficacité énergétique Canada
The Role of Hydrogen in the Energy Transition: FuelCell Energy CEO Jason Few in Conversation
BMO est fier de soutenir la première transaction d'obligations vertes du gouvernement du Canada en tant que cochef de file
Article d’opinion: Le Canada peut être un leader en matière de sécurité énergétique
Les mesures prises par le gouvernement peuvent contribuer à stimuler la construction domiciliaire afin de remédier à la pénurie de logements au Canada
Tackling Climate Change in Metals and Mining: ICMM CEO Rohitesh Dhawan in Conversation
La circulaire de sollicitation de procurations et les rapports sur la durabilité 2021 de BMO sont maintenant disponibles
Why Changing Behaviour is Key to a Low Carbon Future – Dan Barclay
BMO lance le programme Services aux entreprises à portée de main - BMO pour les entrepreneurs noirs et annonce un engagement de 100 millions de dollars en prêts pour aider les entrepreneurs noirs à dé
The Post 2020 Biodiversity Framework – A Discussion with Basile Van Havre
BMO annonce son intention de se joindre au programme Catalyst de Breakthrough Energy pour accélérer l'innovation climatique
BMO Groupe financier nommé banque la plus durable en Amérique du Nord pour la troisième année d'affilée
Using Geospatial Big Data for Climate, Finance and Sustainability
Atténuer les répercussions des changements climatiques sur les actifs physiques par la finance spatiale
BMO aide Boralex à aller Au-delà des énergies renouvelables en transformant sa facilité de crédit en un prêt lié au développement durable
Première mondiale : BMO soutient Bruce Power avec le premier cadre de financement vert du secteur nucléaire au monde
BMO se classe parmi les entreprises les plus durables au monde, selon les indices de durabilité Dow Jones
COP26 : Pourquoi les entreprises doivent assumer leur responsabilité sociale
The Future of Remote Work and Diversity in the Asset Management Industry
Changer les comportements est essentiel pour assurer un avenir à faible émission de carbone – Table ronde Milken
BMO aide Teck Resources à progresser vers ses objectifs ESG avec un prêt lié à la durabilité
Première dans le secteur des métaux et des mines en Amérique du Nord : BMO aide Sandstorm Gold Royalties à atteindre ses objectifs ESG grâce à un prêt lié à la durabilité
Éducation, emploi et autonomie économique : BMO publie Wîcihitowin ᐑᒋᐦᐃᑐᐏᐣ, son premier Rapport sur les partenariats et les progrès en matière autochtone annuel
BMO annonce un engagement de financement de 12 milliards de dollars pour le logement abordable au Canada
In support of Canada’s bid to host the headquarters of the International Sustainability Standards Board
BMO appuie la candidature du Canada pour accueillir le siège du Conseil des normes internationales d'information sur la durabilité
Investing in Real Estate Sustainability with Bright Power Inc.
BMO nommé au classement des 50 meilleures entreprises citoyennes au Canada de Corporate Knights
ESG From Farm to Fork: Doing Well by Doing Good
BMO met sur pied une nouvelle équipe innovatrice pour la transition énergétique
L’appétit croissant pour l’investissement dans un but précis dans les valeurs à revenu fixe par Magali Gable
Banques centrales, changements climatiques et leadership : Forum annuel destiné aux femmes œuvrant dans le secteur des titres à revenu fixe, devises et produits de base
Première nord-américaine : BMO aide Gibson Energy à transformer entièrement une facilité de crédit en un prêt lié à la durabilité
Le programme Des transactions qui font pousser des arbres permettra d’en planter 100 000
Les arbres issus des métiers bénéficient d'un marché obligataire ESG solide
Understanding Biodiversity Management: Best Practices and Innovation
The Changing Face of Sustainability: tentree for a Greener Planet
Favoriser des résultats durables : le premier prêt vert offert au Canada
Episode 29: What 20 Years of ESG Engagement Can Teach Us About the Future
Rapport sur les perspectives de 2021 de BMO Gestion mondiale d'actifs : des jours meilleurs à venir
Episode 28: Bloomberg: Enhancing ESG Disclosure through Data-Driven Solutions
Comment Repérer L’écoblanchiment Et Trouver Un Partenaire Qui Vous Convient
BMO se classe parmi les entreprises les plus durables selon l'indice de durabilité Dow Jones - Amérique du Nord
Episode 27: Preventing The Antimicrobial Resistance Health Crisis
BMO investit dans un avenir durable grâce à un don d’un million de dollars à l’Institute for Sustainable Finance
BMO Groupe financier franchit une étape clé en faisant correspondre 100 pour cent de sa consommation d'électricité avec des énergies renouvelables
BMO Groupe financier reconnu comme l'une des sociétés les mieux gérées de manière durable au monde dans le nouveau classement du Wall Street Journal
Episode 23: TC Transcontinental – A Market Leader in Sustainable Packaging
Les possibilités de placement durables dans le monde d’après la pandémie
Les sociétés axées sur l’efficacité énergétique peuvent maintenant réduire leurs coûts d’emprunt
BMO Groupe financier s'approvisionnera à 100 pour cent en électricité à partir d'énergies renouvelables
Episode 13: Faire face à la COVID-19 en optant pour des solutions financières durables
Épisode 09 : Le pouvoir de la collaboration en matière d'investissement ESG
Épisode 08 : La tarification des risques climatiques, avec Bob Litterman
Épisode 07 : Mobiliser les marchés des capitaux en faveur d’une finance durable
Épisode 06 : L’investissement responsable – Tendances et pratiques exemplaires canadiennes
Épisode 04 : Divulgation de renseignements relatifs à la durabilité : Utiliser le modèle de SASB
Épisode 03 : Taxonomie verte: le plan d'action pour un financement durable de l'UE
Épisode 02 : Analyser les risques climatiques pour les marchés financiers