Le sommet inaugural de BMO sur l’obésité est axé sur les thérapies et la lutte contre une épidémie croissante
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L’évolution du paysage thérapeutique de l’obésité et son potentiel à aider les gens à vivre plus longtemps et en meilleure santé ont attiré l’attention du public. Toutefois, le marché de ces traitements, qui se développe rapidement, est beaucoup plus complexe que ne l’imaginent de nombreux investisseurs.
Pour mieux comprendre les progrès de la médecine anti-obésité et la façon dont les traitements et les soins s’adaptent à cette nouvelle approche de l’obésité, BMO Marchés des capitaux a accueilli des fournisseurs, des leaders d’opinion clés, des patients, des gestionnaires de soins pharmacothérapeutiques et des dirigeants d’entreprises biopharmaceutiques à l’occasion du premier sommet de BMO sur l’obésité. L’objectif de cet événement unique en son genre était de réunir de nombreux acteurs du secteur, notamment des représentants d’Amgen, de Structure Therapeutics, de WeightWatchers, d’Intellihealth, de Corbus Pharmaceuticals, d’Altimmune, de Terns Pharmaceuticals, de Scholar Rock, de Prime Therapeutics, de Novo Nordisk et de Lilly.
Voici cinq points à retenir du sommet :
1. L’obésité est une maladie complexe et traitable qui est au cœur de nombreuses maladies chroniques
En 1994, des chercheurs ont découvert la leptine, une hormone lipidique essentielle à la capacité du patient à réguler son poids, ce qui a marqué un tournant dans le traitement de l’obésité. Autrement dit, cette hormone empêche le cerveau de réagir de manière appropriée à la prise de poids. Ce point est important, car les recherches montrent que la suppression d’aliments ne résout pas le problème de l’obésité. Au contraire, l’inflammation chronique provoque des dommages irréversibles qui augmentent le « poids d’équilibre » d’une personne, c’est-à-dire la fourchette de poids déterminée biologiquement. Cette recherche a fourni un cadre pour traiter l’obésité comme une condition médicale plutôt que comme un problème de mode de vie.
Le fait de reconnaître l’obésité comme une maladie traitable a constitué une évolution importante, car cela a ouvert la voie à la lutte contre l’épidémie croissante. Actuellement, près de 40 % des Américains souffrent d’obésité, qui est liée à plus de 200 autres maladies chroniques. Les premières études ont montré qu’une perte de poids de 2 à 5 % peut avoir des effets bénéfiques mesurables sur la santé des patients, bien qu’une perte de poids de 15 % ou plus augmente considérablement ces effets bénéfiques. Des essais médicaux ont montré que certains médicaments contre l’obésité réduisaient le nombre de décès, toutes causes confondues, et ralentissaient considérablement la progression de l’insuffisance cardiaque et de l’insuffisance rénale. De même, la glycémie et le diabète de type 2 ont été réduits de 73 %.
D’autres avantages potentiels pour la santé ont aussi été signalés, notamment pour les maladies rénales chroniques, l’apnée obstructive du sommeil et l’arthrose, bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires.
2. Il y a de la place pour de nombreux acteurs du marché
Alors que les investisseurs se concentrent principalement sur deux médicaments très médiatisés contre l’obésité, il y a de la place pour d’autres médicaments qui se différencient par le format, la posologie et les comorbidités traitées. Comme l’ont expliqué certains panélistes, le marché doit comprendre que les médicaments contre l’obésité peuvent agir de différentes manières, à l’instar des avancées médicales en matière de résultats et de traitements cardiovasculaires. Pour mettre cela en perspective, il existe plus de 100 médicaments antihypertenseurs sur le marché, mais seulement sept pour l’obésité - dont deux sont des combinaisons de médicaments plus anciens.
Compte tenu de la prévalence de la maladie, il est nécessaire de trouver des solutions évolutives. Cela créera des occasions pour d’autres acteurs du marché, comme ceux qui utilisent des traitements tels que le GLP-1 – la catégorie de médicaments populaires contre le diabète qui a suscité le récent débat sur les médicaments contre l’obésité – et des programmes uniquement comportementaux. Certaines solutions peuvent utiliser les deux approches simultanément, plusieurs panélistes notant que les traitements comportementaux sont toujours pertinents lorsque les patients prennent des médicaments GLP-1.
En outre, les solutions doivent être axées sur le consommateur, s’inscrire dans une approche plus large et répondre aux principaux problèmes de santé. Parallèlement, elles doivent gérer la composition corporelle tout au long du parcours de perte de poids, car la préservation des muscles et la qualité de la perte de poids sont des considérations cruciales pour les patients souffrant d’obésité. Les programmes comportementaux tentent de combler cette lacune en augmentant les protéines pour les patients sous GLP-1. À mesure que le marché mûrit, nous assisterons à une segmentation et à une différenciation plus grandes des patients.
3. L’avenir sera fait d’une combinaison de thérapies et de modération
Comme de nombreuses maladies, l’obésité sera pour beaucoup un combat de toute une vie, qui nécessitera une utilisation régulière de médicaments et de traitements disponibles. Il est essentiel de trouver le dosage approprié pour les patients. Dans certains cas, les patients réagissent en mangeant trop peu, ce qui nécessite un plan visant à réduire le dosage et à ralentir la perte de poids tout en modifiant d’autres comportements, comme le régime alimentaire, les suppléments et l’exercice. La prise de médicaments chaque semaine, par exemple, n’est pas toujours nécessaire.
Même si les nouveaux médicaments peuvent changer la donne dans le traitement de l’obésité, aucune solution ne permettra à elle seule de mettre fin à l’épidémie. L’avenir sera fait d’une combinaison de thérapies et de choix de vie personnels. Certaines combinaisons pourraient inclure des médicaments qui empêchent la perte de masse musculaire, comme les inhibiteurs de la myostatine et les modulateurs sélectifs des récepteurs des androgènes, tout en réduisant l’appétit.
4. Les compagnies d’assurance doivent évoluer pour aider les patients à mieux accéder aux traitements
Bien que les compagnies d’assurance de personnes s’adaptent à ces nouveaux médicaments, la couverture reste limitée. Les coûts sont élevés pour tous les nouveaux médicaments, mais surtout pour ceux qui font l’objet d’une forte demande et d’une offre restreinte. La fabrication et la capacité de ces médicaments devraient rester une contrainte majeure pendant deux ans. Toutefois, les compagnies d’assurance devront aussi tenir compte de l’impact de ces médicaments sur les coûts de couverture à long terme, surtout maintenant que de plus en plus de données sur d’autres résultats positifs en matière de santé sont disponibles. Aujourd’hui, certains patients disent attendre jusqu’à huit mois pour obtenir un rendez-vous avec un spécialiste de l’obésité. À terme, la couverture sera probablement déterminée par l’analyse génétique ou les comorbidités.
Les compagnies d’assurance doivent aussi se préparer à un afflux de demandes de règlement, car l’enthousiasme des patients pour les nouveaux traitements est probablement sous-estimé. La stigmatisation actuelle de l’obésité est l’un des rares obstacles à l’accès à ces thérapies et à une meilleure compréhension de leur potentiel. Les personnes bénéficiant d’une assurance-maladie auront aussi du mal à obtenir une couverture, et il ne semble pas que la situation soit près de changer. Toutefois, dans l’intervalle, l’impact sur les fournisseurs de soins de santé pourrait être minime, car les patients se sont montrés disposés à payer de leur poche.
5. Les préjugés, la stigmatisation et la discrimination liés au poids restent un problème
Malgré les bienfaits prometteurs des médicaments contre l’obésité pour la santé, ces derniers font l’objet d’une stigmatisation, beaucoup pensant que les patients choisissent la facilité. Pour dépasser ce point de vue, les patients et les fournisseurs de soins de santé doivent considérer l’obésité comme une maladie et non comme un projet de vanité. Maintenant que la porte est ouverte aux entreprises pharmaceutiques pour pénétrer ce marché recherché, cela a créé une sorte de ruée vers l’or, ont déclaré certains panélistes. Dans ce contexte, il est encore plus important que les fournisseurs de soins de santé adoptent une approche scientifique lorsqu’ils prescrivent ces médicaments. Les consommateurs et les fournisseurs de soins de santé doivent être mieux informés des différentes options thérapeutiques.
Même avec ces nouveaux outils, l’obésité restera un problème pour de nombreux patients jusqu’à la fin de leur vie. Les médicaments et les thérapies comportementales actuels permettent de gérer la maladie, mais pas de la guérir. Des recherches supplémentaires doivent être menées pour identifier les effets secondaires potentiels à long terme de ces médicaments, d’autant plus que les patients pourraient être amenés à les prendre pour toujours.
Le sommet inaugural de BMO sur l’obésité est axé sur les thérapies et la lutte contre une épidémie croissante
Analyste, secteur biopharmaceutique
Evan Seigerman est directeur général et analyste de recherche principal à BMO Marchés des capitaux, où il couvre le secteur de la…
Evan Seigerman est directeur général et analyste de recherche principal à BMO Marchés des capitaux, où il couvre le secteur de la…
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L’évolution du paysage thérapeutique de l’obésité et son potentiel à aider les gens à vivre plus longtemps et en meilleure santé ont attiré l’attention du public. Toutefois, le marché de ces traitements, qui se développe rapidement, est beaucoup plus complexe que ne l’imaginent de nombreux investisseurs.
Pour mieux comprendre les progrès de la médecine anti-obésité et la façon dont les traitements et les soins s’adaptent à cette nouvelle approche de l’obésité, BMO Marchés des capitaux a accueilli des fournisseurs, des leaders d’opinion clés, des patients, des gestionnaires de soins pharmacothérapeutiques et des dirigeants d’entreprises biopharmaceutiques à l’occasion du premier sommet de BMO sur l’obésité. L’objectif de cet événement unique en son genre était de réunir de nombreux acteurs du secteur, notamment des représentants d’Amgen, de Structure Therapeutics, de WeightWatchers, d’Intellihealth, de Corbus Pharmaceuticals, d’Altimmune, de Terns Pharmaceuticals, de Scholar Rock, de Prime Therapeutics, de Novo Nordisk et de Lilly.
Voici cinq points à retenir du sommet :
1. L’obésité est une maladie complexe et traitable qui est au cœur de nombreuses maladies chroniques
En 1994, des chercheurs ont découvert la leptine, une hormone lipidique essentielle à la capacité du patient à réguler son poids, ce qui a marqué un tournant dans le traitement de l’obésité. Autrement dit, cette hormone empêche le cerveau de réagir de manière appropriée à la prise de poids. Ce point est important, car les recherches montrent que la suppression d’aliments ne résout pas le problème de l’obésité. Au contraire, l’inflammation chronique provoque des dommages irréversibles qui augmentent le « poids d’équilibre » d’une personne, c’est-à-dire la fourchette de poids déterminée biologiquement. Cette recherche a fourni un cadre pour traiter l’obésité comme une condition médicale plutôt que comme un problème de mode de vie.
Le fait de reconnaître l’obésité comme une maladie traitable a constitué une évolution importante, car cela a ouvert la voie à la lutte contre l’épidémie croissante. Actuellement, près de 40 % des Américains souffrent d’obésité, qui est liée à plus de 200 autres maladies chroniques. Les premières études ont montré qu’une perte de poids de 2 à 5 % peut avoir des effets bénéfiques mesurables sur la santé des patients, bien qu’une perte de poids de 15 % ou plus augmente considérablement ces effets bénéfiques. Des essais médicaux ont montré que certains médicaments contre l’obésité réduisaient le nombre de décès, toutes causes confondues, et ralentissaient considérablement la progression de l’insuffisance cardiaque et de l’insuffisance rénale. De même, la glycémie et le diabète de type 2 ont été réduits de 73 %.
D’autres avantages potentiels pour la santé ont aussi été signalés, notamment pour les maladies rénales chroniques, l’apnée obstructive du sommeil et l’arthrose, bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires.
2. Il y a de la place pour de nombreux acteurs du marché
Alors que les investisseurs se concentrent principalement sur deux médicaments très médiatisés contre l’obésité, il y a de la place pour d’autres médicaments qui se différencient par le format, la posologie et les comorbidités traitées. Comme l’ont expliqué certains panélistes, le marché doit comprendre que les médicaments contre l’obésité peuvent agir de différentes manières, à l’instar des avancées médicales en matière de résultats et de traitements cardiovasculaires. Pour mettre cela en perspective, il existe plus de 100 médicaments antihypertenseurs sur le marché, mais seulement sept pour l’obésité - dont deux sont des combinaisons de médicaments plus anciens.
Compte tenu de la prévalence de la maladie, il est nécessaire de trouver des solutions évolutives. Cela créera des occasions pour d’autres acteurs du marché, comme ceux qui utilisent des traitements tels que le GLP-1 – la catégorie de médicaments populaires contre le diabète qui a suscité le récent débat sur les médicaments contre l’obésité – et des programmes uniquement comportementaux. Certaines solutions peuvent utiliser les deux approches simultanément, plusieurs panélistes notant que les traitements comportementaux sont toujours pertinents lorsque les patients prennent des médicaments GLP-1.
En outre, les solutions doivent être axées sur le consommateur, s’inscrire dans une approche plus large et répondre aux principaux problèmes de santé. Parallèlement, elles doivent gérer la composition corporelle tout au long du parcours de perte de poids, car la préservation des muscles et la qualité de la perte de poids sont des considérations cruciales pour les patients souffrant d’obésité. Les programmes comportementaux tentent de combler cette lacune en augmentant les protéines pour les patients sous GLP-1. À mesure que le marché mûrit, nous assisterons à une segmentation et à une différenciation plus grandes des patients.
3. L’avenir sera fait d’une combinaison de thérapies et de modération
Comme de nombreuses maladies, l’obésité sera pour beaucoup un combat de toute une vie, qui nécessitera une utilisation régulière de médicaments et de traitements disponibles. Il est essentiel de trouver le dosage approprié pour les patients. Dans certains cas, les patients réagissent en mangeant trop peu, ce qui nécessite un plan visant à réduire le dosage et à ralentir la perte de poids tout en modifiant d’autres comportements, comme le régime alimentaire, les suppléments et l’exercice. La prise de médicaments chaque semaine, par exemple, n’est pas toujours nécessaire.
Même si les nouveaux médicaments peuvent changer la donne dans le traitement de l’obésité, aucune solution ne permettra à elle seule de mettre fin à l’épidémie. L’avenir sera fait d’une combinaison de thérapies et de choix de vie personnels. Certaines combinaisons pourraient inclure des médicaments qui empêchent la perte de masse musculaire, comme les inhibiteurs de la myostatine et les modulateurs sélectifs des récepteurs des androgènes, tout en réduisant l’appétit.
4. Les compagnies d’assurance doivent évoluer pour aider les patients à mieux accéder aux traitements
Bien que les compagnies d’assurance de personnes s’adaptent à ces nouveaux médicaments, la couverture reste limitée. Les coûts sont élevés pour tous les nouveaux médicaments, mais surtout pour ceux qui font l’objet d’une forte demande et d’une offre restreinte. La fabrication et la capacité de ces médicaments devraient rester une contrainte majeure pendant deux ans. Toutefois, les compagnies d’assurance devront aussi tenir compte de l’impact de ces médicaments sur les coûts de couverture à long terme, surtout maintenant que de plus en plus de données sur d’autres résultats positifs en matière de santé sont disponibles. Aujourd’hui, certains patients disent attendre jusqu’à huit mois pour obtenir un rendez-vous avec un spécialiste de l’obésité. À terme, la couverture sera probablement déterminée par l’analyse génétique ou les comorbidités.
Les compagnies d’assurance doivent aussi se préparer à un afflux de demandes de règlement, car l’enthousiasme des patients pour les nouveaux traitements est probablement sous-estimé. La stigmatisation actuelle de l’obésité est l’un des rares obstacles à l’accès à ces thérapies et à une meilleure compréhension de leur potentiel. Les personnes bénéficiant d’une assurance-maladie auront aussi du mal à obtenir une couverture, et il ne semble pas que la situation soit près de changer. Toutefois, dans l’intervalle, l’impact sur les fournisseurs de soins de santé pourrait être minime, car les patients se sont montrés disposés à payer de leur poche.
5. Les préjugés, la stigmatisation et la discrimination liés au poids restent un problème
Malgré les bienfaits prometteurs des médicaments contre l’obésité pour la santé, ces derniers font l’objet d’une stigmatisation, beaucoup pensant que les patients choisissent la facilité. Pour dépasser ce point de vue, les patients et les fournisseurs de soins de santé doivent considérer l’obésité comme une maladie et non comme un projet de vanité. Maintenant que la porte est ouverte aux entreprises pharmaceutiques pour pénétrer ce marché recherché, cela a créé une sorte de ruée vers l’or, ont déclaré certains panélistes. Dans ce contexte, il est encore plus important que les fournisseurs de soins de santé adoptent une approche scientifique lorsqu’ils prescrivent ces médicaments. Les consommateurs et les fournisseurs de soins de santé doivent être mieux informés des différentes options thérapeutiques.
Même avec ces nouveaux outils, l’obésité restera un problème pour de nombreux patients jusqu’à la fin de leur vie. Les médicaments et les thérapies comportementales actuels permettent de gérer la maladie, mais pas de la guérir. Des recherches supplémentaires doivent être menées pour identifier les effets secondaires potentiels à long terme de ces médicaments, d’autant plus que les patients pourraient être amenés à les prendre pour toujours.
BMO Obesity Summit
PARTIE 1
L’obésité, une maladie chronique
Evan David Seigerman 10 avril 2024
Le contenu de cet article sera accessible en français à une date ultérieure. Restez à l’affût! &nb…
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