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Depuis 15 ans, le programme Action-Éducation de BMO aide la société à devenir plus inclusive et, par le fait-même, plus productive.
Depuis toujours, David Thomas rêvait de faire des études d’administration et de travailler à Wall Street. Il voyait son père investir sur le marché immobilier local. Mais c’est lorsque son école secondaire d’Atlanta, en Géorgie, a organisé un jeu de simulation boursière qu’il a vraiment eu la piqûre du commerce. « C’était juste un jeu, mais j’ai adoré ça, raconte-t-il. J’ai beaucoup appris des conseillers financiers qui l’animaient. »
Aujourd’hui, M. Thomas est vice-président au parquet de négociation de BMO à New York. Il préside également la section de New York du Réseau professionnel des employés noirs de BMO et siège au Conseil sur la diversité et l’inclusion de la société. À ce titre, il s’efforce de gérer les problèmes particuliers de diversité et d’inclusion au sein des marchés des capitaux.
Après ses études secondaires, le seul établissement que M. Thomas voulait fréquenter était la Wharton School de l’Université de Pennsylvanie. « C’est une de ces écoles prestigieuses que les jeunes comme moi rêvaient d’intégrer », explique-t-il. Malheureusement, le coût des études était bien supérieur à ses moyens financiers. M. Thomas, qui a toujours été un battant, a fait toutes les demandes de bourses d’études possibles et inimaginables, mais un programme en particulier l’intéressait : la Jackie Robinson Foundation Scholarship, que BMO appuie dans le cadre de son programme Action-Éducation.
La Jackie Robinson Foundation offre de généreuses subventions liées à l’éducation aux étudiants de groupes minoritaires qui se distinguent par leur potentiel de leadership. Au cours des 45 dernières années, elle a versé 85 millions de dollars et aidé plus de 1 500 étudiants à intégrer des écoles qu’ils n’auraient autrement jamais pu fréquenter. M. Thomas a demandé et obtenu la bourse, qui a couvert presque tous ses frais de scolarité. « Sans elle, je n’aurais jamais pu aller à l’Université de Pennsylvanie », affirme-t-il.
David Thomas, qui est entré à BMO comme stagiaire en 2011, fait partie des nombreuses personnes qui ont réussi dans le monde des affaires grâce à des politiques d’entreprise plus inclusives et à l’aide fournie par BMO et d’autres sociétés qui partagent la même vision. Sans ces programmes de bourses et ces politiques, les entreprises se priveraient de talents exceptionnels – et de revenus additionnels.
Une culture à cultiver
Pour Dan Barclay, chef de la direction de BMO Marchés des capitaux, l’inclusion va de soi, en particulier dans un secteur hautement concurrentiel comme les services bancaires. L’inclusion, selon lui, est uniquement une question de culture. « La culture est un moteur de rendement, déclare-t-il. Si notre parcours consiste à instaurer une culture de rendement élevé, alors l’inclusion en est des éléments de base. »
Pour M. Barclay, pour qu’il y ait inclusion, tout le monde doit éprouver un sentiment d’appartenance. « Et les gens qui éprouvent un sentiment d’appartenance sont prêts à donner leur plein rendement », souligne-t-il, ajoutant que la diversité de points de vue aide aussi les entreprises à trouver de meilleures idées et à s’adapter plus facilement au changement.
Selon un rapport publié par le Boston Consulting Group, les sociétés qui se dotent d’équipes de direction diversifiées génèrent des revenus 19 % plus élevés que les autres. La raison? Une plus grande diversité de points de vue favorise l’innovation, d’après le rapport.
Un endroit où il fait bon travailler
Dans un récent exposé présenté à BMO Marchés des capitaux, Michael Bush, chef de la direction de Great Place to Work, société de recherche mondiale qui produit la liste annuelle « Fortune 100 Best Companies to Work For », a déclaré que la diversité et l’inclusion jouent un rôle primordial dans ce qui fait d’une entreprise un endroit où il fait bon travailler, et, au bout du compte, prospérer. « Le monde change, et dans l’avenir, les entreprises devront aller chercher les meilleurs talents possibles. Et comme les circuits qu’elles explorent actuellement ne recèlent pas assez de talents, ou d’innovation, elles devront les trouver ailleurs ».
La création d’une main-d’œuvre inclusive n’est pas seulement la bonne chose à faire, ajoute M. Bush. Elle peut aussi favoriser une hausse du bénéfice en améliorant la stabilité du personnel, la productivité et le cours de l’action. D’après ses recherches, les sociétés qui figurent sur la liste des « meilleurs endroits où travailler » depuis 20 ans ont surclassé les indices Russell 2000, Russell 3000 et S&P 500 dans une proportion de trois pour un. À l’avenir, celles qui figureront dans la liste devront être inclusives. « On ne peut exclure personne dans cette quête de diversité et d’inclusion », commente-t-il.
L’importance de l’éducation
Bien sûr, l’instauration d’une culture plus inclusive et, par conséquent, hautement performante ne se fait pas du jour au lendemain. Il existe beaucoup d’obstacles structurels qui empêchent les personnes talentueuses d’atteindre leurs objectifs. Afin de surmonter certains de ces obstacles, BMO a fait de l’éducation un des principaux axes de ses programmes philanthropiques. Elle est un des commanditaires fondateurs du programme Return to Bay Street de Women in Capital Markets au Canada et du programme Back2Business aux États-Unis. Ces deux programmes financent le recyclage professionnel des femmes qui veulent réintégrer le secteur des services financiers après une absence prolongée.
Depuis 2005, le programme Action-Éducation, qui contribue au financement de la bourse Jackie Robinson accordée à David Thomas, a versé plus de 20 millions de dollars à divers organismes de bienfaisance nord-américains et européens. Chaque année, BMO verse l’équivalent des commissions d’une journée liées à la négociation de titres pour les clients institutionnels à des organismes qui proposent des bourses, des programmes de mentorat et des possibilités de perfectionnement.
Depuis son lancement, le programme a aidé plus de 5 000 étudiants à obtenir un diplôme et à suivre une formation auxquels ils n’auraient pas eu accès autrement. Voilà pourquoi BMO est fière de célébrer 15 ans de générosité dans le cadre du programme Action-Éducation. « Nous tenons à améliorer les chances de succès de chacun, explique M. Barclay. C’est là la mission du programme Action-Éducation : investir dans la collectivité, en conformité avec nos valeurs. »
Selon M. Thomas, les sociétés, en général, peuvent faire davantage pour créer des milieux inclusifs, mais l’appui à l’éducation est un bon point de départ. « Le programme Action-Éducation m’a aidé à réaliser mes rêves, dit-il. Il m’a permis d’aller à l’école que je voulais et d’étudier ce que je voulais. Et maintenant, je peux faire ce que j’ai toujours voulu faire. »
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Senior Advisor to the CEO
Le 1er novembre 2023, Dan Barclay se retirera du rôle de chef de la direction et chef, BMO Marchés des capitaux et transitionnera au poste de conseille…
Le 1er novembre 2023, Dan Barclay se retirera du rôle de chef de la direction et chef, BMO Marchés des capitaux et transitionnera au poste de conseille…
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Depuis 15 ans, le programme Action-Éducation de BMO aide la société à devenir plus inclusive et, par le fait-même, plus productive.
Depuis toujours, David Thomas rêvait de faire des études d’administration et de travailler à Wall Street. Il voyait son père investir sur le marché immobilier local. Mais c’est lorsque son école secondaire d’Atlanta, en Géorgie, a organisé un jeu de simulation boursière qu’il a vraiment eu la piqûre du commerce. « C’était juste un jeu, mais j’ai adoré ça, raconte-t-il. J’ai beaucoup appris des conseillers financiers qui l’animaient. »
Aujourd’hui, M. Thomas est vice-président au parquet de négociation de BMO à New York. Il préside également la section de New York du Réseau professionnel des employés noirs de BMO et siège au Conseil sur la diversité et l’inclusion de la société. À ce titre, il s’efforce de gérer les problèmes particuliers de diversité et d’inclusion au sein des marchés des capitaux.
Après ses études secondaires, le seul établissement que M. Thomas voulait fréquenter était la Wharton School de l’Université de Pennsylvanie. « C’est une de ces écoles prestigieuses que les jeunes comme moi rêvaient d’intégrer », explique-t-il. Malheureusement, le coût des études était bien supérieur à ses moyens financiers. M. Thomas, qui a toujours été un battant, a fait toutes les demandes de bourses d’études possibles et inimaginables, mais un programme en particulier l’intéressait : la Jackie Robinson Foundation Scholarship, que BMO appuie dans le cadre de son programme Action-Éducation.
La Jackie Robinson Foundation offre de généreuses subventions liées à l’éducation aux étudiants de groupes minoritaires qui se distinguent par leur potentiel de leadership. Au cours des 45 dernières années, elle a versé 85 millions de dollars et aidé plus de 1 500 étudiants à intégrer des écoles qu’ils n’auraient autrement jamais pu fréquenter. M. Thomas a demandé et obtenu la bourse, qui a couvert presque tous ses frais de scolarité. « Sans elle, je n’aurais jamais pu aller à l’Université de Pennsylvanie », affirme-t-il.
David Thomas, qui est entré à BMO comme stagiaire en 2011, fait partie des nombreuses personnes qui ont réussi dans le monde des affaires grâce à des politiques d’entreprise plus inclusives et à l’aide fournie par BMO et d’autres sociétés qui partagent la même vision. Sans ces programmes de bourses et ces politiques, les entreprises se priveraient de talents exceptionnels – et de revenus additionnels.
Une culture à cultiver
Pour Dan Barclay, chef de la direction de BMO Marchés des capitaux, l’inclusion va de soi, en particulier dans un secteur hautement concurrentiel comme les services bancaires. L’inclusion, selon lui, est uniquement une question de culture. « La culture est un moteur de rendement, déclare-t-il. Si notre parcours consiste à instaurer une culture de rendement élevé, alors l’inclusion en est des éléments de base. »
Pour M. Barclay, pour qu’il y ait inclusion, tout le monde doit éprouver un sentiment d’appartenance. « Et les gens qui éprouvent un sentiment d’appartenance sont prêts à donner leur plein rendement », souligne-t-il, ajoutant que la diversité de points de vue aide aussi les entreprises à trouver de meilleures idées et à s’adapter plus facilement au changement.
Selon un rapport publié par le Boston Consulting Group, les sociétés qui se dotent d’équipes de direction diversifiées génèrent des revenus 19 % plus élevés que les autres. La raison? Une plus grande diversité de points de vue favorise l’innovation, d’après le rapport.
Un endroit où il fait bon travailler
Dans un récent exposé présenté à BMO Marchés des capitaux, Michael Bush, chef de la direction de Great Place to Work, société de recherche mondiale qui produit la liste annuelle « Fortune 100 Best Companies to Work For », a déclaré que la diversité et l’inclusion jouent un rôle primordial dans ce qui fait d’une entreprise un endroit où il fait bon travailler, et, au bout du compte, prospérer. « Le monde change, et dans l’avenir, les entreprises devront aller chercher les meilleurs talents possibles. Et comme les circuits qu’elles explorent actuellement ne recèlent pas assez de talents, ou d’innovation, elles devront les trouver ailleurs ».
La création d’une main-d’œuvre inclusive n’est pas seulement la bonne chose à faire, ajoute M. Bush. Elle peut aussi favoriser une hausse du bénéfice en améliorant la stabilité du personnel, la productivité et le cours de l’action. D’après ses recherches, les sociétés qui figurent sur la liste des « meilleurs endroits où travailler » depuis 20 ans ont surclassé les indices Russell 2000, Russell 3000 et S&P 500 dans une proportion de trois pour un. À l’avenir, celles qui figureront dans la liste devront être inclusives. « On ne peut exclure personne dans cette quête de diversité et d’inclusion », commente-t-il.
L’importance de l’éducation
Bien sûr, l’instauration d’une culture plus inclusive et, par conséquent, hautement performante ne se fait pas du jour au lendemain. Il existe beaucoup d’obstacles structurels qui empêchent les personnes talentueuses d’atteindre leurs objectifs. Afin de surmonter certains de ces obstacles, BMO a fait de l’éducation un des principaux axes de ses programmes philanthropiques. Elle est un des commanditaires fondateurs du programme Return to Bay Street de Women in Capital Markets au Canada et du programme Back2Business aux États-Unis. Ces deux programmes financent le recyclage professionnel des femmes qui veulent réintégrer le secteur des services financiers après une absence prolongée.
Depuis 2005, le programme Action-Éducation, qui contribue au financement de la bourse Jackie Robinson accordée à David Thomas, a versé plus de 20 millions de dollars à divers organismes de bienfaisance nord-américains et européens. Chaque année, BMO verse l’équivalent des commissions d’une journée liées à la négociation de titres pour les clients institutionnels à des organismes qui proposent des bourses, des programmes de mentorat et des possibilités de perfectionnement.
Depuis son lancement, le programme a aidé plus de 5 000 étudiants à obtenir un diplôme et à suivre une formation auxquels ils n’auraient pas eu accès autrement. Voilà pourquoi BMO est fière de célébrer 15 ans de générosité dans le cadre du programme Action-Éducation. « Nous tenons à améliorer les chances de succès de chacun, explique M. Barclay. C’est là la mission du programme Action-Éducation : investir dans la collectivité, en conformité avec nos valeurs. »
Selon M. Thomas, les sociétés, en général, peuvent faire davantage pour créer des milieux inclusifs, mais l’appui à l’éducation est un bon point de départ. « Le programme Action-Éducation m’a aidé à réaliser mes rêves, dit-il. Il m’a permis d’aller à l’école que je voulais et d’étudier ce que je voulais. Et maintenant, je peux faire ce que j’ai toujours voulu faire. »
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